La longue bataille qui dure depuis 2007 entre le gouvernement et les producteurs indépendants risque de reprendre lors des négociations pour revoir le prix d’achat par le CEB aux Independent Power Producers. Selon des sources, le rapport de la firme américaine, Hunton and Williams fait mention d’une baisse requise de ce prix, qui devrait amener par conséquent une baisse dans les dépenses du CEB
L’autre recommandation du rapport, concerne l’actionnariat dans les entreprises gestionnaires des centrales thermiques. Selon des informations, la firme américaine a soulevé cet aspect, recommandant que les petits planteurs, qui à la base vendent de la bagasse aux centrales thermiques pour la production d’électricité, puissent faire partie des opérations pour la production d’électricité, leur permettant ainsi un partage des gains.
La publication du rapport de Hunton and Williams est restée sans issue depuis début 2009.
Après les négociations entre le gouvernement et les sucriers en 2008, un accord fut trouvé sur quatre points principaux :
(i) 2000 arpents de terres devraient être mis à la disposition du gouvernement pour les projets sociaux et la diversification agricole
(ii) l’actionnariat à hauteur de 35 % ouvert à travers la Sugar Investment Trust dans les distilleries et les raffineries ouvertes aux petits planteurs,
(iii) l’expertise d’un consultant indépendant (la firme américaine Hunton and Williams avait ensuite été choisie) et
(iv) la possibilité que des terres soient vendues ou louées aux métayers pour leurs activités.
Le Premier ministre, Navin Ramgoolam avait à l’époque déclaré que : «Dans les négociations menées par le gouvernement, nous voulions que tous ceux qui contribuent à la profitabilité de l’industrie sucrière puissent aussi bénéficier d’une partie des profits».
Toutefois, après les représentations du gouvernement, des membres de la MSPA, des syndicalistes, un rapport préliminaire avait été émis. Une polémique a ensuite eclaté, la MSPA affirmant que le rapport final était différent de ce que disait le rapport préliminaire. Mais à ce jour, depuis 2009, rien de probant sur la mise en application de ce rapport sur l’aspect de la réévaluation des prix. Dans les milieux concernés, on parle de « chantage » de la part des producteurs du privé.
Kinslay Lai
L’indexation établie dans les accords avec les compagnies concernent les centrales suivantes : Belle-Vue (CTBV), Beau-Champ (CEL), FUEL (FSPG), Centrale Thermique de Savannah (CTSAV), tous regroupées au sein de la Mauritius Sugar Producers Association. Cette organisation avait mené les négociations avec le gouvernement en vue de l’exécution du rapport ‘Multi-Annual Adaptation Strategy’ en 2008. A cette époque, c’était le bras de fer entre le gouvernement et les sucriers lors de ces négociations.L’autre recommandation du rapport, concerne l’actionnariat dans les entreprises gestionnaires des centrales thermiques. Selon des informations, la firme américaine a soulevé cet aspect, recommandant que les petits planteurs, qui à la base vendent de la bagasse aux centrales thermiques pour la production d’électricité, puissent faire partie des opérations pour la production d’électricité, leur permettant ainsi un partage des gains.
La publication du rapport de Hunton and Williams est restée sans issue depuis début 2009.
Après les négociations entre le gouvernement et les sucriers en 2008, un accord fut trouvé sur quatre points principaux :
(i) 2000 arpents de terres devraient être mis à la disposition du gouvernement pour les projets sociaux et la diversification agricole
(ii) l’actionnariat à hauteur de 35 % ouvert à travers la Sugar Investment Trust dans les distilleries et les raffineries ouvertes aux petits planteurs,
(iii) l’expertise d’un consultant indépendant (la firme américaine Hunton and Williams avait ensuite été choisie) et
(iv) la possibilité que des terres soient vendues ou louées aux métayers pour leurs activités.
Le Premier ministre, Navin Ramgoolam avait à l’époque déclaré que : «Dans les négociations menées par le gouvernement, nous voulions que tous ceux qui contribuent à la profitabilité de l’industrie sucrière puissent aussi bénéficier d’une partie des profits».
Toutefois, après les représentations du gouvernement, des membres de la MSPA, des syndicalistes, un rapport préliminaire avait été émis. Une polémique a ensuite eclaté, la MSPA affirmant que le rapport final était différent de ce que disait le rapport préliminaire. Mais à ce jour, depuis 2009, rien de probant sur la mise en application de ce rapport sur l’aspect de la réévaluation des prix. Dans les milieux concernés, on parle de « chantage » de la part des producteurs du privé.
This is a joke. Z’autres pe dimande diable dil’eau benit.
ReplyDeleteEt z’autres pe amene tous bande qui croire dans z’autres, dans enn bateau ‘titaniqueste’.
Pas perdi to les temps ar z’autres, camarade.
Tchota